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Un client de Leclerc a acheté des pommes de terre auprès de la chaîne de magasins. Ce qu’il a découvert ne l’a pas enchanté et il a fait part de son mécontentement sur X. Face à cette situation, l’enseigne quant à elle n’est pas restée les bras croisés, mais a tenu à s’exprimer. Comment démêler le vrai du faux ?
Leclerc fait parler de lui
Selon les sondages, Leclerc se situe à une place privilégiée dans le choix des Français en matière de magasins. Cependant, cela ne veut pas dire que l’enseigne se trouve à l’abri des mécontentements des clients ou des retraits.
Dernièrement, un client qui y a acheté des pommes de terre a partagé sa mauvaise expérience sur son réseau. Il s’est adressé à sa communauté sur le réseau social X, autrefois appelé Twitter. À vrai dire, il n’a pas mâché ses mots en parlant des pratiques de Leclerc.
Il dénonce une technique marketing qui prend de l’ampleur ces derniers temps, mais qui ne respecte pas toujours l’éthique.
La skhrinkflation
Ce mot aussi difficile à lire qu’à écrire court sur de nombreuses lèvres en ce moment. Tandis que la stratégie marketing douteuse fait parler d’elle, un client attribue de tels actes à Leclerc.
En fait, la skhrinkflation constitue une pratique marketing des plus controversées de ces derniers temps. Elle consiste à garder le même prix pour un produit, mais en diminuer la quantité ou le volume.
En réalité, il s’agit de l’inflation masquée pour endormir l’esprit des consommateurs. Mais justement, ils ne veulent pas se laisser faire et traquent la moindre anomalie dans tout ce qu’ils achètent. Dans cette optique, un client de Leclerc attribue ce procédé à Leclerc à travers un achat qu’il a effectué dans le magasin.
Elisabeth Borne, à l’époque Premier ministre, a entendu parler de cette technique. Elle refuse qu’elle se propage davantage et parle de l’interdire. Si des clients pensent être victimes de tels actes, elle les invite à dénoncer l’organisme à l’origine de la fourberie.
Le quiproquo Leclerc
Une personne qui a fait ses courses chez Leclerc émet des doutes après avoir acheté des pommes de terre. Sur l’instant, il ne se rend pas vraiment compte de ce qui lui arrive. Mais une fois à la maison, il veut en avoir le cœur net.
En effet, dans sa liste de course figurait des pommes de terre et il a pris un filet sur lequel s’affichait la mention 5 kg. En déballant ses courses, il constate que quelque chose cloche et décide d’effectuer une contre-pesée.
Là, il voit que le filet ne contient que 3,5 kilos de pommes de terre. Pourtant, l’étiquette prétend que le produit pèse 5 kilos. Ni une ni deux, il sort un post sur X pour dénoncer ces malversations attribuées à Leclerc.
L’enseigne quant à elle n’a pas accepté de se laisser traîner dans la boue sans réagir du tout. Un responsable a pris la peine de répondre au post afin d’entrer en contact avec eux. Leclerc a demandé de plus amples informations sur l’incident afin de pouvoir assister au mieux ce client.
Jusque-là, aucune communication n’a filtré sur cette affaire. Au final, les avis restent partagés. Certains pensent à un coup de pub tandis que d’autres croient que Leclerc peut agir ainsi et s’en méfient.