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Quand les autorités les arrêtent, les automobilistes ne se sentent jamais totalement en confiance. En effet, ils ne peuvent pas maîtriser toutes les lois relatives à la conduite automobile. Se faire arrêter les indispose donc à chaque fois, car ils ne se savent pas totalement clean. Le sujet que cet article va étayer se portera justement sur la propreté.
Une vue dégagée
Pour pouvoir conduire en toute sécurité et en toute impunité, un automobiliste doit voir correctement. En effet, il se doit de distinguer convenablement les éléments du paysage qui l’entoure. Sans cela, il ne peut ni agir ni anticiper correctement ses faits et gestes. Cela découle de la logique même.
Imaginez un automobiliste qui a oublié ses lunettes de vue alors qu’il doit conduire. En agissant de la sorte, il se met lui-même en danger et en constitue un pour les autres. Comme il ne voit pas bien, il risque de ne pas s’arrêter à temps ou de s’encastrer quelque part.
On applique le même principe pour tout ce qui peut entraver la vue d’un automobiliste. Il ne peut donc pas conduire sans ses lunettes ou ses lentilles de contact. Ainsi, il possède l’essentiel pour se déplacer avec sa voiture.
Des automobilistes proprets
Pour les forces de l’ordre, les automobilistes doivent circuler avec une voiture bien propre. Certes, ils ne constituent pas des agents de contrôle d’hygiène et pourtant, ils ne peuvent faire autrement.
Bien évidemment, les agents de police ne peuvent pas réprimander les automobilistes pour leur hygiène corporelle. On peut entraver la liberté jusque-là. Cependant, les autorités peuvent très bien exiger d’un conducteur la propreté de sa voiture. Elles regardent en particulier le pare-brise.
Les automobilistes peuvent alors se demander sur quels critères de propreté se basent-ils. En fait, les critères d’évaluation se rapportent plus sur la visibilité que permettent les vitres situées à l’avant du véhicule.
Il ne s’agit pas seulement de pare-brise alors, mais aussi des vitres latérales avant. En effet, un automobiliste s’en sert beaucoup pour pouvoir se repérer comme il se doit. La loi dit que la vision à partir de l’intérieur du véhicule doit équivaloir à au moins 70 %. En dessous de cette limite, une contravention attend l’automobiliste.
Les critères d’évaluation de l’automobiliste
Quand on dit que l’automobiliste doit voir avec au moins 70 % de clarté, ce critère reste flou. En effet, comment peut-on évaluer ce qu’un conducteur peut distinguer à travers son pare-brise et ses vitres ?
Tout simplement, on se réfère aux couleurs qu’on peut voir de la voiture. Cela constitue un élément crucial pour déchiffrer les panneaux, mais aussi pour voir les feux par exemple. L’automobiliste doit aussi voir les objets de son environnement exactement comme ils apparaissent. Pourtant la saleté peut entraver cette bonne vision.
Parfois, un automobiliste peut avoir lavé correctement sa voiture, mais la saleté peut arriver par ses propres manœuvres. Par exemple, il a parcouru des endroits poussiéreux. Cela peut aussi provenir de la buée issue du verglas que l’automobiliste n’a pas laissé passer avant de rouler.
Parfois, les autorités ont affaire à un pare-brise sale à cause d’un défaut de balais d’essuie-glace. Quand ceux-ci vieillissent, ils deviennent défectueux.
Là aussi, la loi peut sévir. Quand le conducteur ne voit pas bien à travers son pare-brise et ses vitres latérales, on peut le sanctionner. L’amende de deuxième classe qui y correspond vaut 68 euros.
