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Cette année, l’État a encore prévu une taxe qui risque de peser sur le budget de certains consommateurs. Alors, qu’est-ce qui se trame ? Une contribution qui touche un secteur où beaucoup trouvent de bons plans pour acheter à moindre coût.
Pour l’instant, cette info passe un peu inaperçue. Mais ça ne va pas durer. Autant donc s’y préparer dès maintenant.
Une taxe qui va changer tout
Acheter d’occasion fait partie du quotidien pour beaucoup de consommateurs. Bien sûr, pour certains, c’est une nécessité. Parce que les prix sont souvent plus bas que ceux du neuf. De quoi donc faire des économies.
Pourtant, il ne s’agit pas qu’une question de prix. Certains veulent juste consommer autrement. En effet, acheter d’occasion est aussi un geste pour la planète. Cela réduit sans doute les déchets si le consommateur le fait de façon responsable.
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Puis, la seconde main permet également de dénicher des pépites. Que ce soit pour des vêtements, des jouets ou encore des objets de déco. N’allez pas croire que l’occasion se limite à de vieilles choses. Il est même possible d’y trouver du matériel high-tech.
En somme, nous pouvons dire que le marché de la seconde main séduit de plus en plus. Mais cette dynamique pourrait bien ralentir. Du moins pour un produit en particulier. Puisqu’une nouvelle taxe arrive, prête à tout bouleverser.
Une taxe qui va toucher beaucoup de personnes
Les livres sont parmi les produits d’occasion les plus vendus. D’après une étude du ministère de la Culture et de la SOFIA, en 2022, un livre sur cinq acheté était de seconde main. Autant dire que ce marché connaît une grosse réussite. Mais le vendredi 11 avril 2025, une annonce du ministère de la Culture a fait tiquer beaucoup de gens.
En effet, les livres d’occasion vont bientôt payer un droit d’auteur. Cela prend la forme d’une taxe ou d’une contribution que les vendeurs devront reverser. Soit à un organisme chargé de la répartir, soit directement aux auteurs et éditeurs. Le but ? Compenser un gros manque à gagner, selon Maison & Travaux.
Un même livre peut passer de main en main sans jamais rien rapporter à son créateur. Ainsi, avec cette taxe, les auteurs toucheraient enfin une part à chaque revente. Cela leur permettrait de continuer à profiter de la valeur de leur création.
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Pourquoi une telle mesure ?
Pour rétablir un peu de justice, probablement ! Puisqu’aujourd’hui, avec les livres d’occasion, les auteurs ne perçoivent rien. En plus, les plateformes de vente en ligne prennent de l’ampleur. Elles sont nombreuses à vendre des livres d’occasion à des prix moins chers que ceux des librairies.
Certaines d’entre elles vendent même des livres plus récents, parfois quelques mois après leur sortie. Ce phénomène chamboule un secteur déjà bien fragilisé. Les librairies ont donc du mal à rivaliser. Alors, quand la taxe arrive ? Il n’y a pas encore de date exacte pour l’instant. Pourtant, rassurez-vous, cette mesure reste très suivie. Donc, ça va arriver d’ici peu.
Les gros perdants d’une telle initiative sont surtout les acheteurs d’occasion. Bien sûr, les vendeurs vont répercuter cette taxe sur le prix du livre. Alors, attendez-vous à voir les prix des livres d’occasion grimper. Cette contribution « pourrait casser l’image ultra-abordable du livre d’occasion », comme le dit Maison & Travaux.
