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Automobilistes : attention, vous ne pourrez bientôt plus parler au volant avec cette nouvelle mesure

Les règles pour les automobilistes changent en cours de route. La prochaine mesure qui se prépare vise à interdire la parole au conducteur.

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Un automobiliste européen doit connaître les règles en vigueur dans son pays, mais aussi celles des pays voisins. En effet, comme il peut rouler hors de son pays, mais à l’intérieur de l’Europe, cela s’avère alors nécessaire. Surtout qu’il existe des lois valables pour tous les pays membres de l’UE.

La Commission européenne a aussi instauré des règles qui s’énoncent pour tous les pays membres et qui doivent s’appliquer. On s’y plie sans rechigner. Cependant, récemment, on entend dire qu’on ne pourra plus parler tout en conduisant. Et là, on a un peu peur de l’avenir.

Des automobilistes baladés

La Commission européenne, qui vise zéro décès sur les autoroutes en 2050, multiplie les initiatives. Elle a notamment imposé des programmes aux automobilistes européens afin qu’ils s’y conforment. La dernière en date et qui fait beaucoup parler d’elle se rapporte à la norme GSR 3.

Pour dire vrai, cette nouvelle disposition fait jaser les automobilistes. Si autant de spéculations tournent autour de la question, les raisons sont toutes simples.

Tout d’abord, le GSR 2 attend sa mise en œuvre à l’été 2024. Aussi, parler et même polémiquer sur le GSR 3 peut paraître précipité et inapproprié. En effet, les automobilistes risquent de s’y perdre. Comme on dit, trop de règles tue la règle.

Le GSR 2 et le GSR 3

Pour les automobilistes, il est important de bien connaître le GSR 2, puisqu’on va l’adopter en juillet 2024. En ce qui le concerne, il se rapporte beaucoup à des règles de sécurité strictes à incorporer dans les véhicules.

Les concepteurs doivent équiper les nouvelles voitures de différents accessoires qui augmenteraient la sécurité des automobilistes. Ainsi, les nouveaux véhicules comprendront, par exemple, des sortes de caméras embarquées. Son rôle consiste à garder à l’œil l’automobiliste et l’avertir en cas de somnolence ou de distraction.

Le GSR 3, quant à lui, cherche plus à mettre en place des systèmes de sécurité routière très stricts et restrictifs. Beaucoup d’interdictions se profilent donc à l’horizon.

Interdiction de parler pour les automobilistes

Le GSR 2 n’a pas trop secoué, car les objectifs de la Commission européenne de « zéro mort » semblaient justifiés. En effet, on peut comprendre que la commission ait préféré investir dans le matériel pour protéger la vie.

Tout le monde essaie tant bien que mal de se conformer aux règles. On peut, entre autres, citer les obligations et les responsabilités plus accrues des automobilistes détenteurs de nouveaux permis.

Les dispositifs dans les véhicules neufs ne révoltent pas non plus. Mais quand on murmure que les règles du GSR 3 stipulent que le chauffeur doit se taire en roulant… Cela porte quand même à discussion.

Des automobilistes bavards

Si de telles mesures doivent s’appliquer, cela tient quand même debout. En fait, il existe une proportion d’automobilistes qui commettent des accidents à cause de la volubilité.

Même si cela peut étonner, 3 % des accidents se passent à cause d’automobilistes qui parlent beaucoup. Ils s’expriment peut-être tellement qu’ils en oublient le volant.

Aujourd’hui, on se demande comment peut-on parvenir à appliquer cette loi. Pour le moment, la principale idée consiste à placer le capteur de son avec le dispositif anti-somnolence.

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